(Librio, 2€, 127 pages)
ISBN 978-2-290-33529-1
Hamlet feint la folie afin de démasquer son oncle usurpateur. On met cette folie passagère sur le compte de l’amour qu’il porterait à Ophélie, fille de Polonius, conseiller du roi.
Hamlet ourdit une nouvelle ruse et fait jouer par une troupe de théâtre la reconstitution des véritables circonstances de la mort de son père. Claudius, en interrompant les comédiens au beau milieu de la représentation, conforte Hamlet dans sa certitude. Il se résout à assassiner son oncle, mais hésite. Il décide de tout révéler à sa mère, et croyant que Claudius se dissimule derrière un rideau, y plante son épée, tuant non pas le régicide, mais son conseiller, Polonius. Claudius contraint Hamlet à l’exil en Angleterre. Ophélie folle de douleur se suicide par noyade, et Laërte, son frères, jure de venger sa sœur et son père en tuant Hamlet.
Hamlet ne tard pas à faire savoir qu’il retourne au Danemark, son bateau ayant été attaqué par des pirates. Claudius saisit l’opportunité de se débarrasser du dangereux héritier légitime, et fait en sorte que celui-ci affronte Laërte en duel. Il prend la double précaution d’enduire de poison la lame de ce dernier, et d’en verser également dans la coupe de vin de Hamlet.
Durant le combat, Gertrude boit à cette coupe et décède. Laërte quant à lui parvient à blesser Hamlet de sa lame empoisonnée, mais se blesse lui-même avec l’arme mortelle, et trépasse. Hamlet parvient à assassiner Claudius avant de succomber lui-même à sa blessure empoisonnée.
Fortinbras, seigneur norvégien qui s’apprêtait à déclarer la guerre au Danemark, arrive à Elseneur où l’histoire de Hamlet lui est contée. Il ordonne d’inhumer celui qui aurait été son ennemi avec tous les honneurs.
Dans ma LAL : Mac Beth
Ils en parlent : ?
Lecture : Février 2010